Lundi: Nous profitons du trajet Gaza-Jérusalem Est pour faire connaissance avec Marion qui travaille au Centre Culturel Français (CCF) de Jérusalem Est depuis cet été. Elle est présente ici dans le cadre d’un contrat V.I.A (Volontaire International en Administration). L’année précédente elle était en poste à Damas. En deux ans, elle aura travaillé dans deux pays qui sont prêts à se faire la guerre à tout instant ! Il faut être sacrément bon et professionnel pour assumer ces deux postes.
Aujourd’hui nous allons buller avec les enfants de Jérusalem Est , et plus précisément dans la vielle ville à Burj Al Laqlaq, situé au bord nord-est de la Vieille Ville de Jérusalem, entourée par les vieux et célèbres murs de la ville ottomane. Elle est le plus grand espace ouvert offrant à la population palestinienne un agrément plus que nécessaire pour les activités sportives, récréatives et sociales.
Après un déjeuner au CCF Chateaubriand où nous faisons connaissance avec l’équipe, leur travail, la particularité de leur mission ici… on nous questionne : pourquoi faire des bulles ? Et Gaza ? A peine rentrés il nous est difficile de raconter mais nous sentons la curiosité que suscite cette bande de terre si médiatisée et où peu de personnes ont eu l’occasion d’entrer ! Curieux de cette nouvelle rencontre qui nous attends et un peu déboussolés, nous suivons Marion dans les ruelles de la vielle ville, dédales de marches, de portes et de fenêtres où nous croisons des enfants amusés par notre présence, par notre matériel…
Arrivés à destination nous découvrons un paysage fabuleux, en haut d’une colline qui surplombe le dôme du rocher d’un côté, les remparts de l’autre, une vue sur un versant verdoyant de la colline d’en face… : c’est là que nous allons buller ! Les quelques 300 enfants qui composent notre public sont installés en arc de cercle, au son de la musique d’un groupe brésilien de capoeira qui est aussi venu faire un intervention dans ce centre d’animation. Ils nous accompagneront pendant la représentation pour notre plus grand plaisir ! Une fois installés, nous réalisons que le vent va porter les bulles dans une direction opposée aux enfants. D’une certaine manière cela nous aide puisque ce la n’incite pas les enfants à se lever pour se ruer sur les bulles, à s’écraser les uns les autres comme cela arrive parfois.
Mais d’un autre côté…c’est dommage, on ne peut jouer réellement avec eux, nous avons l’impression que c’est comme si ce spectacle leur échappait… nous sentons qu’il nous faut improviser, trouver autre chose… nous échangeons quelques regards entre nous trois… allez on se lance : ils sont nombreux, mais les animateurs aussi alors nous proposons aux enfants de venir eux même former leurs bulles ! Plutôt que d’utiliser les bulliers , Ophélie se lance dans l’aventure des mains, à peine a-t-elle montré le geste qu’une centaine d’enfant accoure vers nous… Des centaines de mains plongent dans le liquide, forment des bulles, se les échangent, forment des sabliers, des accordéons, des dômes que l’on peut séparer ou réunir au grès des envies et du vent… Nous apprenons aux enfants différentes techniques pour former des bulles en soufflant à travers leurs doigts… Technique très ludique qui nous a été enseignée par Sterling Johnson bulleur américain que nous saluons au passage !
Ces jeux de mains et de bulles se poursuivront plus d’une heure durant laquelle les enfants s’amuseront tout autant que nous dans une folle ambiance… Nous remercions particulièrement les animateurs qui ont superbement joué leurs rôles de traducteurs et d’organisateurs permettant ainsi à tous les enfants de participer à ce moment !
Un grand merci aussi aux enfants pour leurs jeux autour des bulles et pour ce moment inoubliable ! Un merci tout particulier à Romi Shamai pour être venu ici, à Tom Noddy (grand bulleur américain, spécialiste des petites bulles de savon), à sa femme Shelly et à Peter (bulleur allemand) d’être venu assister à notre performance ! Merci également à Benoît Cassegrain pour les magnifiques photos qu’il a fait de ces différents moments et à Anne-Cécile Touzard.
Mardi : Ce matin nous faisons nos premières bulles côté israélien, et plus précisément dans le lycée français de Jérusalem Ouest.
C’est Cécile Caillou-Robert, directrice de l’Institut Français de Jérusalem ouest Romain Gary qui nous accueille et nous accompagne au lycée Français. C’est d’ailleurs grâce à cette femme, éternelle baroudeuse des centres culturels à travers le monde que nous avons pu intervenir dans tant de lieux et traverser si facilement les murs locaux ! Le lycée est côté israélien mais accueille tous les enfants de toutes origines (israéliens, palestiniens, et autres) et de toutes religions. Il est le lycée de toutes les mixités 🙂
Ophélie ne viendra pas au lycée, elle est partie rejoindre Romi Shamai et Tom Noddy pour une séance à la télévision israélienne afin d’annoncer le « festibubbles » au musée Bloomfield. Hélas elle ne pourra faire de réelle présentation de nos bulles géantes, la magie des bulles de Tom et Romi ayant suffisamment opérée !
Au lycée Annaig et Sylvain nous font deux démonstrations de bulles auprès de classes de primaires, il y avait tant d’euphorie dans la cour de récréation que le directeur de l’école nous compareras aux Rolling Stones tant nous avons déclenché d’enthousiasme et de cris ! S’en est suivie une rencontre très intéressante dans leur CDI où les enfants pouvaient nous poser toutes les questions qui leur venaient. Nous avons pris beaucoup de plaisir à répondre à leurs interrogations extrêmement diverses telles que « est ce qu’on peut faire des bulles carrées? », « vous avez quel âge? 😉 » ou encore « est ce que l’on peut enfermer du son dans les bulles? ». Et pour finir notre matinée de « gloire », nous avons signé de très nombreux autographes auprès de tous nos fans ! Étant rapidement à court cartes de visites, les enfants ont trouvés d’autres solutions pour garder un souvenir de nous : et sont finalement repartis ravis avec nos signatures et petits mots sur leurs bras !
Cet après midi, est notre premier temps libre ! Nous en profitons pour faire les touristes : Jérusalem est une très belle ville faite des constructions aux pierres blanches… Une atmosphère particulière se dégage à chaque quartier que nous traversons, nous avons le sentiment de traverser le temps, les religions, les pays… Même si certains rites et vêtements traditionnels restent obscures pour nos yeux incultes, nous avons le sentiment de nous promener au cœur d’un subtil et fragile carrefour de cultures dont la nourriture sera notre unique véritable guide ! Nous avions pourtant lu la magnifique bande dessinée de Guy Delisle Les chroniques de Jérusalem, mais nous n’avions visiblement pas suffisamment révisé !!!
Ce soir nous sommes invités à l’inauguration de l’agrandissement du CCF de jérusalem ouest avec le vernissage de l’exposition du photographe et plasticien Georges Rousse. A cette occasion nous bullons pour l’arrivée des invités et particulièrement du consul et de l’adjoint au maire de Jérusalem ! Nous sommes arrivés depuis un peu plus de 3 jours et nous avons l’impression d’avoir déjà vécu mille vies ici !
Mercredi : Départ à 8h30 pour Bethléem. Bethléem n’est qu’à 8 kms de Jérusalem…autant dire très proche. Pourtant on ne sait jamais à quelle heure on arrivera. Ce temps dépend de la circulation bien sûr, mais aussi et surtout du passage des check points.
Cécile vient nous chercher à notre hôtel et nous partons accompagnés de Benoît Cassegrain, notre photographe de choc et d’Anne-Cécile Touzard, Emmanuelle et son ami Greg aux longues dreadlocks. Nous retrouverns ensuite un jeune israélien qui travaille au CCF et son amie qui sont arrivés par leur propre moyen. En effet, en tant qu’israélien, il n’est pas censé aller dans les territoires occupés. Son passage de l’autre côté du mur n’est pas garanti du tout, et n’est pas secure pour lui. Les voitures diplomatiques et les personnes titulaires de la carte « verte » passent les frontières sans être fouillées ou interrogées. La libre circulation n’étant pas autorisée entre palestiniens et israéliens, la France ne peut donc se permettre de faire « passer » des personnes d’un côté ou de l’autre.
En même temps, cette fameuse carte verte est fort utile, nous dirons même tristement utile. Une dizaine d’enfants du lycée français de Jérusalem ouest viennent de Bethléem. Un transport de bus collectif est organisé matin et soir pour ces enfants afin de rejoindre Jérusalem. Un planning est mis en place entre les titulaires de la carte verte de Jérusalem afin qu’il y ait toujours un accompagnateur. Non, non, ça n’est pas pour faire de l’animation dans le bus, c’est « seulement » pour garantir le passage du check point quotidiennement, et surtout pour éviter aux enfants de voir les soldats armés les menacer. Cette organisation permet simplement d’assurer la sécurité à ces enfants palestiniens entrant en Israël…
Pour nous, notre passage se fait bien sûr aisément… Aujourd’hui, est notre dernier jour de bulles en lien avec les CCF. D’ailleurs, nous ne bullerons pas directement pour le CCF mais plutôt pour l’Alliance française et plus précisément pour le lycée de Frères de la Salle. Nous ne savons pas grand-chose de l’organisation prévue (quelles classes, combien d’enfants, combien de temps…). Mais tout va bien et on est au top niveau adaptation…!
Nous recevons un accueil très chaleureux autour d’un café arabe (toujours le même café à la cardamone) et petits gâteaux. Le Directeur de l’école, lui-même ancien élève, nous reçoit avec les professeurs. Après une visite des différents espaces extérieurs, des deux cours. A chaque fois que cela est possible, nous apprécions d’avoir différents choix possibles et ainsi analyser le revêtement du sol, mais aussi la direction principale du vent et donc notre positionnement et celui du public. Cette fois-ci nous proposerons deux cessions, une première pour les grands (CM1-CM2), puis une seconde pour les maternelles. Aujourd’hui les maternelles sont tous déguisés, on a alors avec nous quelques Spiderman, de nombreux Batman et nombreuses princesses ou encore des schtroumpfs :-).
Pendant que nous installons notre matériel, Greg est un magnifique canaliseur d’énergie. Tous les enfants, les uns après les autres touchent, manipulent,entortillent sa chevelure si étrange. Mais qu’est ce donc que ces dreadlocks? Puis, accompagnés de leurs professeurs, les enfants s’installent en cercle autour de nous. Mais nous avons besoin de plus d’espace, alors on leur demande d’agrandir le cercle. Nous continuons de nous préparer devant eux. Pendant ce temps, ils se rapprochent, on leur demande d’agrandir le cercle… Plusieurs rappels sont nécessaires avant de pouvoir commencer réellement, 1 ,2,3 c’est parti ! Le show commence, les éclats de surprises et de rires fusent ! L’excitation est déjà très forte et les enfants réactifs… Pour le moment nous n’avons sorti que nos plus petits bulliers… Les courants d’airs sont parfaits, nos bulles sortent des guirlandes en tourbillons magnifiques et s’envolent au dessus du lycée. Simplement très beau.
Nous profitons ensuite de notre passage à Bethléem pour une errance touristique, quand même! Nous allons donc visiter la Basilique de la Nativité, « tout comme l’église du Saint sépulcre, dans la Vieille ville de Jérusalem, la basilique de la Nativité – où le Christ a vu le jour selon les Évangiles – est soumise à un strict statu quo régissant les responsabilités des Églises grecque orthodoxe, catholique et arménienne. L’espace y est rigoureusement réparti, tout comme les horaires de prières, le climat y est souvent tendu entre communautés. La Nativité est la plus ancienne basilique en Terre sainte et un des lieux les plus saints du christianisme« . (Le parisien.fr, 29/12/2011). Concrètement la basilique est en fait constituée de 3 édifices plus belles les unes que les autres, représentant les 3 églises. C’est beau, mais c’est triste. Les batailles y sont régulières entre les 3 églises, à savoir qui sera le maître des lieux…
Avant de quitter Bethléem pour de bon, nous nous arrêtons pour buller à côté du mûr qui entoure la ville et la sépare du reste d’Israël. Nous n’avons pas pu le faire contre celui de Gaza à cause du no man’s land de 1,5 km et des snipers… Mais aujourd’hui c’est possible et nous sommes bien décidés à faire voler nos bulles contre et au dessus de ce mur à la silhouette impressionnante et lourde de sens qui a déjà 10 ans. Beaucoup d’émotion et évidemment de non compréhension de notre part… Ce mur qui sépare deux peuples, ce mur qui interdit toutes relations entre palestiniens et israéliens, apparaît à nos yeux d’occidentaux comme véritable catastrophe humaine. Nous sommes bien évidemment fiers de buller au pied de ce mur et de faire voler nos bulles à la place des habituels projectiles mais nous savons aussi que ce geste symbolique qui nous tenait tant à cœur n’est rien face à la force des conflits qui existent ici…
Au hasard de nos pas nous avons croisé une fresque de Bansky (www.banksy-art.com), la petite fille qui s’envole avec ses ballons… voilà un endroit parfait pour buller et soutenir cette petite fille ! Nous ne sommes visiblement pas les premiers à avoir eu envie de détourner ce mur comme le montrent les nombreux messages qui tentent de recouvrir le béton…
Peu de temps après que nos premières bulles se soient envolées quelques curieux se sont approchés de nous… Des enfants, des adultes surpris par notre présence nous rejoignent et viennent buller avec nous…Peu de mots échangés, mais des regards, on se comprends, parfois c’est tellement important l’inutile !
Ce soir, c’est l’inauguration du Festibubbles au musée Bloomfield de Jérusalem, l’équivalent en France serait le musée des sciences et de l’industrie à la Villette à Paris. Pendant 4 jours une partie importante du musée est consacrée à la bulle de savon dans le cadre du mois de la science. Différents ateliers y sont proposés comme jouer avec des anneaux, avec des supports différents tels que des cubes, des pyramides etc…, faire des bulles de savons géantes, et ainsi d’observer les mouvements de la bulle, la manière dont elle éclate, dont elle se déforme… Il y a aussi un atelier qui permet de se mettre dans une bulle. Et puis il y a des défis; fermer un très grand dôme, y mettre le maximum de personnes dedans, faire des bulles de couleurs (nous avons 4 jours pour y arriver). Il y aussi Tom Noddy (célèbre bulleur américain) qui fera de nombreuses performances autour des petites bulles de savon. Ce soir nous accueillons les invités pour l’inauguration sous une pluie de bulles, chacun peut s’essayer à la manipulation du matériel…même le maire de Jérusalem, Nir Barkat! Ce soir nous sommes entrain de faire la transition entre les territoires occupés et Israël… Cet après midi nous lancions nos bulles au-dessus du mur avec des enfants palestiniens, ce soir c’est monsieur Barka qui bulle à son tour. Les bulles sont partout, et il y a une certitude, nous avons tous le même regard face à elle. 🙂
Nous terminons notre journée avec la team ébullitions, Ann-cé, Ben, Romi, Tom Noddy, Shelly et Peter. Une soirée de bulleurs!
Lundi: Nous profitons du trajet Gaza-Jérusalem Est pour faire connaissance avec Marion, qui travaille au CCF de Jérusalem Est depuis cet été. Elle a un contrat V.I.A (Volontaire International en Administration). L’année précédente elle était en poste à Damas. En deux ans, elle aura travaillé dans deux pays qui sont prêts à se faire la guerre à tout instant ! Il faut être sacrément bon et professionnelle pour assumer ces deux postes.
Aujourd’hui nous allons buller avec les enfants de Jérusalem Est , et plus précisément dans la vielle ville à Bjur el Laqlaq, situé au bord nord-est de la Vieille Ville de Jérusalem, entouré par les célèbres vieux murs de la ville ottomane. Il est le plus grand espace ouvert offrant à la population palestinienne un agrément plus que nécessaire pour les activités sportives, récréatives et sociales. J’aurai aimé en raconter plus sur cette partie de la ville d’un point de vue historique et aussi , avec un très léger laïus sur la colonisation des juifs sur cette zone, vraiment léger…, mais j’y arrive pas…, alors le premier qui y arrive à gagner! Youpi!
Le paysage est absolument fabuleux, nous allons buller dans un endroit magique, en haut d’une colline qui surplombe le dôme du rocher d’un côté, le remparts de l’autre, une vue sur un versant verdoyant de la colline d’en face. Les quelques 300 enfants (à peu près le bon nombre?) sont installés en arc de cercle, un groupe brésilien de musique et de capoeira est aussi venu faire un intervention dans ce centre d’animation. Ils nous accompagne pendant la représentation pour notre plus grand plaisir. Les bulles prennent la direction contraire aux enfants. Dans un sens, il nous aide puisque n’incite pas les enfants à se lever, à éclater nos bulles, à s’écraser les uns les autres. Mais d’un autre côté…c’est dommage, on ne peut jouer réellement avec eux. Vite on s’adapte, allez on se lance, ils sont nombreux, mais les animateurs aussi. On propose aux enfants de venir eux même former leurs bulles. Plutôt que d’utiliser les bulliers , Ophélie se lance dans l’aventure des mains. Des centaines de mains plongent dans nos sceaux. On apprend à gonfler nos bulles, à se les échanger, à se les passer de main en main, à en faire des accordéons, à séparer une bulle en deux dômes. Les enfants se construisent à plusieurs des chorégraphies de bulles. L’animation durera près d’une heure.
Merci aux animateurs qui ont été d’une grande aide pour que chacun des enfants puissent souffler chacun leur tour leurs bulles. Merci aux enfants pour leurs jeux autour des bulles et pour ce moment inoubliable! Merci à Romi d’être venu ici, à Tom Noddy (grand bulleur américain, spécialiste des petites bulles de savon), à sa femme Shilley et à Peter (bulleur allemand) d’être venu participer avec nous à cette performance!
slide show des enfants de jerusalem est
Mardi : Ce matin nous faisons nos premières bulles côté israélien, et plus précisément dans le lycée français de Jérusalem Ouest. Le lycée est côté israélien mais accueille tous les enfants de toutes origines (israéliens, palestiniens, et autres) et de toutes religions. C’est le lycée de toutes les mixités 🙂
Ophélie ne viendra pas au lycée, elle est partie rejoindre Romi et Tom Noddy pour une séance à la télévision israélienne afin d’annoncer le « festibubbles » au musée Bloomfield. Hélas elle ne pourra faire de réelle présentation de nos bulles géantes, la magie des bulles de Tom et Romi ayant suffisamment opérée.
Au lycée avec Sylvain nous faisons deux démonstrations de bulles auprès de classes de primaires, le directeur les élèves aux fans des Rolling stones… c’était l’euphorie dans la cours de récréation. S’en est suivie une rencontre très intéressante dans leur CDI pour nous interroger. Nous avons pris beaucoup de plaisir à répondre à des questions extrêmement divers tels que « citer les questions des enfants » . Et pour finir notre matinée de gloire, nous avons signés de très nombreux autographes auprès de tous nos fans, les cartes ne suffisant pas nous avons dû signer sur leurs bras!
slideshow du lycée français
Cet après midi, est notre premier temps libre! Nous en profitons pour faire les touristes. Jérusalem est une très belle ville fait des constructions en jolies pierres partout, et nous avons bien envie de nous approprier un plus plus de l’atmosphère unique de cette cité si particulière de part son histoire, de part sa situation politique et religieuse. Ici il y a un grand mélange de population, chaque quartier est extrêmement marqué par la religion qui l’habite. Nous croisons dans les rues des personnes marquées vestimentairement et physiquement très marqué par leur appartenance, il est bien difficile de s’y retrouver… Guy Delisle le dessine et l’explique très bien dans son livre « les chroniques de Jérusalem »
Aujourd’hui nous en profitons pour faire notre petit tour dans la veille ville. (à developper avec les photos)
slideshow de notre allade dans la vielle ville
Ce soir nous sommes inviter à l’inauguration de l’agrandissement du CCF de jérusalem ouest avec le vernissage de l’exposition de Roussel. (verifier le nom), et aussi à buller pour l’arrivée des invités et particulièrement du consul monsieur trucmuche et de l’adjoint a maire de jérusalem.
A développer
De bules à blues, il n’y a qu’une faute de frappe… Ce voyage enbullé!!!